Le blog de toutou aux pieds
Ce jour est quasiment le plus important car c’est l’anniversaire de Maîtresse S.
Je m’étais levé plutôt afin de lui préparé un copieux petit-déjeuner ainsi qu’un énorme bouquet de fleur.
Elle ne m’avait pas demandé de cadeaux car Elle préférait le choisir Elle-même. L’après midi nous nous somme donc rendu dans ses boutiques de chaussures préférées. Maîtresse savait que (comme tout homme) je n’étais pas friand de ces longs moments à errer dans les allées des magasins. Mais pour se venger et imposer un peu plus sa domination, Elle pris un malin plaisir à prendre son temps. Nous avons ainsi vagabondé cinq heures avant que Maîtresse S ne succombe sous le charme d’une magnifique paire de bottes. Elle les essaya et déambula quelques instant avec, puis Elle tombe nez à nez devant une superbe paire de cuissarde qu’Elle enfila aussitôt. La suite fût un peu plus déplaisante :
- J’adore, c’est celles-ci qu’il me faut ! Combien coûte t’elles ?
Elle souleva l’étiquette pour en connaître le prix.
- Hum… Elles sont beaucoup plus chères que les autres !
Elle hésita un instant puis me lança avec un large sourire :
- Peu importe ! De toute façon, ce n’est pas moi qui paye ! Ah ah ah… Pour la peine, je vais prendre les deux paires ! Files à la caisse !
Le prix était exorbitant mais je n’avais pas le choix.
En rentrant chez Maîtresse S j’avais espéré pouvoir la contempler dans ces magnifiques cuissardes mais Elle continuait à me punir.
- Je les mettrais en soirée quant tu ne seras pas avec moi ! Elles sont trop belles pour toi, tu ne les mérites pas !
Elle ouvrit alors la boite, les posa sur la table, pris une photo et me l’envoya à la figure.
- Voila tu te contentera de ça ! Maintenant va au coin et branle-toi sur cette photo !
J’étais encore une fois très humilier car je dû me masturber sur un minuscule cliché de ces cuissardes pour lesquelles j’avas dépensé une fortune.
Comme prévu, Maîtresse S avait convié le soir même deux amies à prendre l’apéro. Durant la soirée je portais ces deux chaussons marron attachés sur mon visage, ce qui ne manqua pas de provoquer les moqueries et les insultes des trois femmes. Pendant quatre heures j’ai dû servir tour à tour de repose pieds au service de ses dames, chacune me traitant comme son propre chien.