toutouauxpieds

Je me présente avec ce surnom « toutou-aux-pieds »,
qui en dit long sur ma condition...

Je suis en effet un soumis qui, pendant un temps, était au service de Maîtresse S. Et plus particulièrement au service de ses Pieds auxquels je vouais une admiration totale.

Après un déménagement contraint, j’ai dû me séparer de Maîtresse S.

Aujourd’hui, je n’ais malheureusement plus de temps disponible pour assumer cette condition de chien, cependant, je ressens toujours ce besoin d’être considéré comme un soumis.

Ce blog est un résumé de quelques journées significatives de ma soumission et des sanctions que je recevais. 
 

Mesdames, si vous désirez me contacter pour me critiquer, me rabaisser, ou même exiger de moi des éloges en votre faveur, n’hésitez pas à me contacter par mail toutouauxpieds@gmail.com

 
j’attends vos commentaires !!!

Bonne lecture.

Maîtresse S avait exigé de moi que je lui écrive une lettre d’éloges et que je flatte sa supériorité. Je me suis donc appliqué à lui rendre cet honneur. Voici mon courrier :

Maîtresse S,

Afin de formuler correctement toute Votre supériorité, je commencerais par reprendre la définition du mot Suprématie :
 

 Suprématie: nom féminin

Domination, prédominance, supériorité dans un domaine

Rien que le genre de ce mot (féminin) défini parfaitement la dimension de votre statut. La Femme est supérieur à l’homme, Vous êtes donc Supérieur à moi. Et cette supériorité est totalement justifiée par Votre divine beauté, Votre intelligence irréprochable et le fait que Vous représentiez le sexe fort. Être au service de Vos Pieds est donc tout simplement naturel.

La définition de ce mot exprime également à la perfection la relation que Vous devriez avoir avec moi : Domination. En tant que carpette, il est indéniable que je Vous dois respect, servitude et obéissance. Vous représentez tellement la Grâce, la Magnificence, l’Excellence qu’il m’est impossible de ne pas me soumettre comme un chien à Vos Pieds.

La « Supériorité dans un domaine » est d’ailleurs une interprétation bien réductrice pour Vous qualifier. Face à un larbin comme moi, Vous êtes supérieure en tout. C’est pour cela que je sollicite Votre autorité pour recevoir un dressage sévère afin de Vous servir au mieux.

Je ne mérite aucune considération de Votre part. Je ne suis qu’un objet sans qualité que Vous pouvez utiliser à Votre guise et que jeter ensuite comme un vieux mouchoir usagé. Je Vous prie de me faire tous les reproches que Vous jugerez nécessaire, de me critiquer, de m’insulter et de m’humilier. A l’inverse, je me contenterais de Vous couvrir d’éloges, de compliments et de louanges.

En conclusion, Maîtresse S est synonyme de Suprématie et je viens par conséquent Vous supplier de bien vouloir m’imposer Votre Grandeur, d’en user et d’en abuser…

Votre toutou

La réponse de Maîtresse S fut cinglante :

Cette lettre est un véritable torchon ! Ce n’est qu’un pauvre résumé aussi minable que toi ! Tu n’es qu’un incapable et un impuissant ! Comme toutes les carpettes de ton genre, tu ne réfléchi qu’avec ta bite ! La tienne étant minuscule, tu es plus stupide qu’un gode ! Si j’accepte de t’éduquer, je prendrais d’ailleurs un malin plaisir à organiser des petites séances en compagnie de mes amies afin que nous puissions rire devant le spaghetti qui te sert de sexe !

En attendant, je te crache au visage !

Après avoir réalisé toute les exigences de Maîtresse S, je reçu un mail de récompense :

Bravo, tu es désormais le chien de mes Pieds ! Tu as rempli les conditions que j’exigeais avec succès. J’espère que tu réalises toute la dimension honorifique de ce statut ! Mais fais très attention car tu dois continuer à faire tes preuves ! Ce n’est pas définitif !

Dorénavant, je t’appellerais « mon toutou » et te traiterais comme tel !

A la manière d’un bon chien, tu porteras un collier ainsi qu’une laisse.

En définitive, tu vivras à mes Pieds et pour mes Pieds !

Que ceci soit bien compris !

Afin de parfaire ce contrat, j’exige que rédige une lettre d’éloges avilissante  à la gloire de mes Pieds.

J’attends…

Maîtresse S, ta dresseuse.

Ce fut un énorme bonheur de savoir que j’étais enfin devenu son « toutou ». Je rêvais de cette condition depuis la première fois ou nous nous sommes contacté. Je m’attelais don à la rédaction de cette lettre que voici :

Maîtresse S,

Je ne peux vous exprimer par des mots ô combien je suis extrêmement honoré de me plier au service de vos merveilleux Pieds. Ils représentent pour moi deux divinités auxquelles je me soumets totalement.

Je suis tellement misérable que je mérite à peine de les contempler. Et c’est pour cela qu’en rampant à terre comme un chien, je supplie vos Pieds de bien vouloir me souiller. Tout ce qu’ils touchent devient fantastique. Je serais donc totalement flatté d’imprégner mes pauvres narines de l’odeur de vos chaussures, bottes, chaussons, collants, bas, mi-bas et chaussettes. Et je ne mérite que ce qu’il a de plus puant.

Bien sûre, je serais également honoré de consommer toute la sueur et la crasse de vos Pieds divin. Vous n’êtes d’ailleurs en aucun cas obligé de Vous laver les Pieds. Je serais toujours là pour les nettoyer.

Je m’incline donc devant la Suprématie de vos Pieds et les remercie d’avance de m’infliger leur punition.

votre toutou.