toutouauxpieds

Chaque semaine le jeudi soir, Maîtresse S se rendait à la salle de sport situé à la sortie de la ville. C’était un gros complexe ou Elle aimait s’adonner à de longues séances de remise en forme (step, vélo, etc…). Lorsqu’Elle rentrait, je devais avoir exécuter un rituel qui m’excitait vraiment. Je devais préalablement lui faire couler un bain afin qu’Elle puisse s’y plonger immédiatement à son arrivée. Celui-ci devait bien entendu être à la température idéale ce qui me valut plusieurs essais non concluants avant d’y parvenir. Je devais ensuite l’attendre patiemment dans la salle de bain. La première fois, ce fut une agréable surprise de découvrir ce rituel. Maîtresse S débarqua chez Elle, éreintée par deux heures intensives et se rendit immédiatement dans sa salle de bain. Gentiment agenouillé, je la regardais retirer son leggins noir avec un énorme plaisir. Une fois ôté, Maîtresse S poussa un « ouf » de soulagement tant Elle se sentait sale. C’est alors qu’Elle enfila son leggins sur ma tête. Il était évidemment plein de transpiration mais j’étais honoré.

-         Chaque fois que je reviendrais de la salle de gym, tu le mettras toi-même sur ta tête et tu me remercieras ! Maintenant tu vas attendre que je prenne mon bain !

Maîtresse S se détendait tranquillement pendant que je restais à ses cotés, recouvert par son leggins sale. Elle s’amusait de temps à autre à tirer dessus afin qu’il colle bien à mon visage. J’inhalais les odeurs singulières et excitantes, tout en laissant mon visage s’imprégner de cette merveilleuse sueur. Une fois qu’Elle sortit de son bain, je cru que la sanction prenait fin. Mais s’était mal connaître Maîtresse S. A la vue de mon sexe bandant, Elle compris qu’Elle pouvait encore abuser de moi. Il était déjà tard et Maîtresse S était fatiguée. Elle se rendit dans sa chambre en m’ordonnant de la suivre.

-         Vu que tu sembles adorer ma sueur, tu dormiras par terre à coté de mon lit avec ce leggins sur la gueule !

En effet j’aimais respirer les relents nauséabonds de sa transpiration encore humide et je fus comblé en dormant de cette façon toute la nuit. Le lendemain matin lorsque Maîtresse S ôta le leggins de ma tête, Elle poussa un soupir de dégoût en observant mon visage recouvert de sueur. Ma peau était effectivement imprégnée de sa sudation, ce qui me rendait heureux. Elle m’envoya une gifle et m’ordonna alors d’aller me laver.