Certaine fois, je devais me tenir debout dans un coin de la salle, ligoté, ses chaussures attachées sur mon visage. Ce n’était pas vraiment une sanction mais plutôt sa manière de me faire profiter de l’odeur de transpiration qu’Elle avait accumulé durant la journée. Je me souviens d’ailleurs de la première fois, ce jour où Elle me dit :
- J’espère que tu te rends compte de la chance que tu as de bénéficier de la puanteur de mes chaussures ! Je les ais porté volontairement pieds nu pour qu’elles soient bien sales et odorantes ! Sache que désormais tu n’es qu’un vulgaire porte-chaussures et que tu le resteras jusqu’à nouvel ordre !
Cet ordre ne tomba qu’au bout de deux heures…