Le lendemain, ce fut un vrai moment d’extase. Comme Elle me l’avait ordonné, je m’étais rendu en fin de matinée chez Maîtresse S. Elle ne fit aucun commentaire sur nos échanges de mail et m’indiqua immédiatement l’endroit ou se trouvaient ses chaussettes. Elles étaient posées vulgairement à terre dans la buanderie, juste devant la machine à laver. Je savais ce que j’avais à faire. Je pris alors un énorme plaisir à me mettre à quatre pattes pour les renifler. C’était des chaussettes blanches vraiment très sales et qui dégageait une odeur vraiment pestilentielle. J’étais aux anges ! Je n’avais d’ailleurs aucun problème à masturber mon sexe déjà bien bandant devant ses merveilles. Maîtresse S observait par derrière mon honteuse branlette que j’accompagnais d’éloges en direction de ces chaussettes. Elle ne se retenait pas de ricaner, ce qui attisait un peu plus mon excitation. Au moment d’éjaculer, j’eus une seconde d’hésitation mais la pression était telle que je déversais ma semence sur le coton. Maîtresse S m’envoya alors une bonne paire de gifle en me disant :
- Je ne t’ai pas autorisé à éjaculer ! Tu as osé salir mes chaussettes de ton vieux sperme ! En conséquence, tu vas les fourrer dans ta bouche et tu vas aller me faire tout le ménage dans la maison et préparer le repas en les gardant ainsi !
Ce fut un grand moment de honte mais je le méritais.